MAJ1 : je viens de voir qu’un site s’est monté pour débattre des statuts du REF ( ICI ). Initiative intéressante au demeurant mais je note une nouvelle fois qu’on ne sait pas qui fait partie de cette « équipe du site ». Cette manie bien franchouillarde de l’anonymat devient franchement pénible… voire suspecte à mes yeux. Après tout, on peut légitimement se demander qui est derrière : les gens du REF-u eux mêmes ? Des opposants qui veulent lancer des fakes ? Le fait de savoir qui est à la manoeuvre sur ce site permettrait d’éclaircir tout malentendu.
Novembre approche à grands pas et la réforme des statuts du REF-u avec. Cette saga qui comporte autant d’épisodes que « Plus belle la vie » va enfin connaître son épilogue, et on ne peut que féliciter la nouvelle équipe pour la célérité avec laquelle elle a traité ce dossier.
Le projet (RI et Statuts) est visible sur ce blog et, surtout, sur le site du REF-u. A ce propos, notons que ce dernier est désormais largement alimenté par ses gestionnaires ce qui est, là aussi, une amélioration largement réclamée par la communauté OM. Ils ont d’ailleurs fait mieux puisqu’ils ont mis en place un forum : ICI
…afin que les membres puissent poser les questions qu’ils souhaitent. Je n’ai pas pu tester ce forum – je ne suis pas membre – mais l’initiative reste de toute façon excellente.
Notre ami Denis de la Ligue de Protection des Radioamateurs a néanmoins noté quelques points qui mériteraient d’être éclaircis – à ce propos, je le remercie pour son investissement statuto-fouinardier percutant alors que la communauté, il faut bien le reconnaître, semble s’en tamponner comme de l’an quarante ! Qu’a donc relevé Denis ?
1 – Aucune référence à une Charte, règle déontologique ou même aucun rappel à la définition internationale du radio amateurisme n’est cité en préambule et je trouve cela fâcheux, surtout quand on se penche ensuite sur le libellé de l’article 7.2.1 du R.I….. « Ce dossier est établi par l’intéressé qui certifie notamment qu’il connaît bien les statuts et règlement intérieur ainsi que la réglementation radioamateur ».
2 – Dès l’article n°1 ils ne peuvent s’empêcher de faire référence à l’obsolète SAG de 1927, périmée depuis des décennies, lointaine époque ou le REF formait des télégraphistes pour les forces armées.
Idem pour l’agrément Education nationale mentionné renouvelé en 2005. Comme ce n’est valable que cinq ans, là aussi c’est périmé. (Il semble également que cette déclaration soit fausse car en 2009 et 2010 le REF-U n’apparaissait pas sur la liste Education.gouv).
Voir ici :
Le REF union ne figure toujours pas dans les associations agrées en 2011 (liste mise à jour en septembre 2011).
3 – A la fin de l’article 1 est écrit : Elle (l’association) a son siège à Tours (Indre et Loire). Pourquoi ne pas compléter la phrase en stipulant que le siège peut être transféré en tout lieu du territoire métropolitain ?
On retrouve ensuite plusieurs articles (17, 22, 24….) où la mention « Indre et Loire » pourrait être remplacée par : le Préfet (ou la Préfecture) du département abritant le siège. Ce libellé permettrait de pouvoir éventuellement déménager pour raison technique ou économique sans avoir à convoquer une AGE modificatrice des statuts. Une simple déclaration dans les préfectures concernées suffirait.
4 – L’article 5.1 des statuts prévoit que le nombre d’administrateurs doit être compris entre 9 et 15. Alors pourquoi l’article 7.1 du Règlement intérieur stipule que le nombre d’administrateurs est de douze (12) et ne peut être modifié qu’après approbation ministérielle ?
Rien