Deux petites phrases tirées d’un post récent de online nous éclairent sur son mode de fonctionnement :

 

« Tout un article pour casser Onlineradio et faire du léchage à Betty. Mais qu’a donc promis F6IOC à F1FYY? »

 

« Il y a 1 an, F6HQY disait: « Betty c’est la femme de la situation ». La preuve, le REF se prend une assignation
Aujourd’hui c’est au tour de F1FYY de soutenir cette politique désastreuse . »

Décidément, online à toujours l’esprit aussi bien tourné… mais ces deux exemples sont éclairants sur sa ligne de conduite éditoriale. Ainsi, et sur la première citation, l’axiome onlinien est donc de considérer qu’on ne peut dire du bien de quelqu’un – ou de quelque chose – que dans le cadre d’un échange de bons procédés. Le système de l’ascenseur ou du troc est donc un des moteurs « onliniens ». On s’en doutait un peu mais c’est agréable de pouvoir le vérifier.

A contrario, on peut donc légitimement se poser la question suivante : qui a promis quoi à online pour qu’il dise du mal en permanence du Ref-u ? Voilà une bonne question qu’elle est bonne, mais je crains que le souci d’informer le public cher à notre média préféré n’aille pas jusqu’à révéler ce genre de détail.

La seconde citation est également intéressante puisqu’elle montre de façon évidente qu’il a été choisi de taper en permanence sur une personne clairement identifiée. Après tout, pourquoi pas ? Mais taper sur cette personne (Betty en l’occurrence) est aussi une façon de ne pas parler des autres protagonistes des aventures calamiteuses du Ref-u.

On peut donc là aussi se poser une autre question tout aussi légitime : quel est l’intérêt d’online de protéger les « boulets » qui pèsent de tout leur poids afin d’empêcher la réforme ? Qu’ont promis ces boulets à online (retour à l’axiome numéro 1) pour qu’il agisse ainsi ?

Hummm… Là encore, il n’y aura pas de réponse.

Finalement, la situation est assez amusante : la seule personne qui a vraiment voulu réformer – et l’a clairement dit – le « machin » , même si ce fût parfois de façon maladroite sur la forme, est systématiquement descendue en flamme par online, qui aurait plutôt été bien inspiré de s’intéresser à ceux qui, dans l’ombre, freinent des quatre fers pour que la réforme ne passe pas.

De ce point de vue, je pense que Betty à commis une erreur stratégique majeure : elle n’a rien promis à online pour qu’il dise du bien d’elle.

A quoi tiennent les choses…!