Comme vous le savez, je m’intéresse beaucoup à la climatologie et, par voie de conséquence, au réchauffement climatique. Deux écoles sur ce dossier dont il est question en ce moment même à Copenhague :
-La majorité (GIEC en tête) pour nous annoncer un gros réchauffement dans les années qui viennent, la cause essentielle étant les gaz à effet de serre.
-Une minorité de scientifiques qui assure que l’actuel réchauffement est lié à la variabilité naturelle du climat (mais qui ne vont pas jusqu’à dire que le CO² c’est vachement bien !)
Ci-dessous un graphe récupéré sur le site dont je vous avais déjà passé l’adresse :
http://www.pensee-unique.fr/paroles.html#wcc3
(cliquez sur l’image pour mieux voir les détails et le texte)
En substance, la variabilité climatique se manifeste par une sinusoïde sur une période d’environ 60 ans. Or, les modèles du GIEC ont bâti leurs projections à partir de la phase ascendante de la sinusoïde qui a marqué ces dernières années…
Mieux, un des pontes de GIEC a reconnu, lors d’une conférence récente sur le climat à Genève, que nous pourrions bien connaître un net refroidissement sur les vingt ans qui viennent… La presse reste assez discrète là dessus vu qu’elle fait ses “unes” depuis des mois sur le réchauffement climatique et qu’ils ont quelque mal à faire un virage sur l’aile…
Je ne sais pas qui à raison mais je pense que les années à venir seront bien intéressante question climat…
Les arnaques des graphiques du » DIT RECHAUFFEMENT CLIMATIQIUE » en vidéo …
Si vous voulez comprendre la grande arnaque du réchauffement climatique regarder la conférence de Courtillot lors des Journées Scientifiques de la faculté de Nantes. Il y démonte les erreurs et mensonges du GIEC.
C’est a partir de la partie 3 que cela devient intéressant.
Partie 1 : http://www.youtube.com/watch?v=N57tx8YeTEM
Partie 2 : http://www.youtube.com/watch?v=VB_xpjRaUQY&feature=related
Partie 3 : http://www.youtube.com/watch?v=K10UuLg7YcA&feature=related
Partie 4 : http://www.youtube.com/watch?v=nwoSIGBv-xw&feature=related
Partie 5 : http://www.youtube.com/watch?v=uhHKIXyMOdE&feature=related
Partie 6 : http://www.youtube.com/watch?v=r56cJ9Gplcs&feature=related
Si nous ne pouvons réfléchir par nous-mêmes, du fait que nous sommes pas des experts, nous sommes condamnés à croire ce qu’on nous enseigne, par les médias !
Merci JP, c’est passionnant, je suis en train d’écouter…
SCIENCE SANS CONSCIENCE N’EST QUE RUINE DE L’ÂME !
» Dans un consensus écrasant, la communauté scientifique reconnait que le changement climatique est réel. Les gaz à effet de serre ont nettement augmenté et sont une conséquence de l’activité humaine « , a encore souligné Rajendra Pachauri. »
On vient donc nous expliquer une fois de plus que le GIEC, qui rassemble des scientifiques dont la compétence parait indiscutable, fonctionne par « consensus ».
Selon le dictionnaire Larousse, un consensus est un accord de consentement du plus grand nombre.
Ceux que l’on appelle les climato sceptiques préfèrent la démarche qui comme le préconise Descartes doit mettre en doute toutes les connaissances qui nous semblent évidentes pour établir un fondement scientifique inébranlable dont sera déduit tout le reste.
Pour le GIEC le consensus, accord de la majorité sur des points que l’on ne met pas en doute, relève peut être de la science puisqu’il est pour partie le fait de scientifiques, mais il relève surtout de la politique et pourrait être obtenu par vote, par référendum et pourquoi pas par sondage.
« Science sans conscience n’est que ruine de l’âme ». Notre bon François Rabelais aurait-il accepté de faire partie du GIEC ou d’en cautionner les oukases et autres conclusions péremptoires ?
Est-il possible et raisonnable en effet, ainsi que le fait le GIEC, de mélanger sans risque science et politique ?
Non ! Loin de moi l’idée de sous entendre que la politique se fait au plus grand mépris de la conscience, mais enfin ! Il y a quand même des arrangements, et l’exemple d’Albert Einstein dont les découvertes ont été utilisées aux fins militaires que l’on sait, et qui en a terriblement souffert, montre bien que les politiques sont parfois loin de considérer que pour être véritablement au service de l’Homme, la science doit être liée à cette conscience morale qui caractérise les vrais scientifiques, et peut-être pas toujours ces mêmes politiques.
On objectera certes que ce sont les tenants et conservateurs de l’ordre moral, qui s’opposèrent aux travaux de la première dissection humaine que fit à Montpellier, Rabelais, le célèbre curé de Meudon.
Ce sont les mêmes qui firent que Galilée condamné à la prison à vie par la Congrégation du Saint-Office aurait murmuré dans sa barbe, le 22 juin 1633 : « Mais pourtant elle tourne ! ».
C’est vrai ! Mais après tout n’y avait-il pas chez ces inconditionnels de la conscience morale un soupçon de comportement politique lié au fait qu’il faillait ménager la chèvre et le chou, en l’occurrence faire en sorte que l’école de médecine de Montpellier ne soit pas trop en avance sur les autres ; ou que les partisans du géocentrisme ne soient pas trop brutalement ridiculisés par Galilée.
Il a fallu la ténacité de Louis Pasteur pour que son vaccin de la rage passe outre le consensus du monde médical dont il avait le tort de ne pas faire partie.
Sans vous inviter Messieurs les scientifiques du GIEC à faire preuve d’un peu de conscience dont on ne veut pas croire que vous êtes dépourvus, pussions nous par contre vous inviter à un peu plus de modestie, en ne considérant pas, comme le firent les géocentristes, que la terre est le centre de l’Univers, et que les petits cirons que nous sommes sur cette terre ont tout pouvoir pour régenter cet Univers et notamment agir de façon irréversible sur les facteurs qui gouvernent le climat.
Pour en revenir à la conscience et afin que la science ne devienne pas ruine de l’âme, il serait bon que cette science dirigeât ses recherches, non plus sur les actions sans doute très marginales que l’Homme pourrait avoir sur le changement climatique, mais sur les conditions dans lesquelles l’humanité peut s’adapter à ce changement sur lequel de plus en plus d’entre nous, et surtout de grands scientifiques consensuso-sceptiques croient que ne pouvons que peu de choses.
N’oubliez pas que de cette adaptation au réchauffement, entre autres, dépend l’espoir que nous avons tous que ne meurent plus de faim ces malheureux petits dont des dizaines ont disparu dans le monde depuis que vous avez commencé à lire ce commentaire.
« Le Soleil sort lentement d’une longue léthargie comme il n’en avait pas connu depuis 1913. Ce repos inexpliqué est-il la cause d’un climat plus froid et perturbé ? Les scientifiques restent partagés.
Alors que l’Europe grelotte, astronomes, climatologues et autres géophysiciens calculent et recalculent sans cesse. Pendant deux ans, le Soleil a affiché un calme inquiétant. Les experts cherchent à comprendre pourquoi il est resté dans un « minimum profond » aussi longtemps et à savoir si cette léthargie a des conséquences directes sur la Terre.
De telles périodes de repos ne sont pas inhabituelles. «Elles reviennent suivant un cycle bien connu, en moyenne tous les onze ans. Le Soleil donne alors l’impression de s’être assagi, puis les éruptions à sa surface reprennent et il projette à nouveau de grandes quantités de matière dans l’espace», explique le planétologue Jean-Loup Bertaux.
Mais cette fois, rien. Pendant 266 jours, notre étoile s’est même offert le luxe de rester vierge de taches noires, signe de reconnaissance d’une reprise d’activité. Du jamais-vu depuis le début du XXe siècle !
A l’automne, quelques soubresauts ont laissé croire à l’Agence spatiale américaine (Nasa) que notre astre avait décidé de sortir de sa torpeur. Fausse alerte : il s’est rendormi aussitôt. D’éminents spécialistes se sont alors alarmés : et si l’étoile, sans laquelle toute survie nous est impossible, ne retrouvait pas son intensité habituelle ?
David Hathaway, du Marshall Space Flight Center de la Nasa, s’est inquiété d’une diminution du rayonnement depuis le dernier minimum d’activité, en 1996, et de graves perturbations du vent solaire. «Nous sommes à peu près sûrs que le prochain maximum d’activité solaire sera nettement plus faible que le précédent», ajoute Jean-Loup Bertaux.
De leur côté, des climatologues ont constaté un ralentissement du réchauffement climatique et les météorologues enregistrent des records de mauvais temps en période hivernale. C’est le cas en ce moment sur l’Europe. Ce le fut il y a quelques semaines en Chine et l’année dernière au Moyen-Orient et en Amérique du Sud…
L’idée que la Terre pourrait entrer dans une mini-période glacière fait son chemin. D’autant qu’un tel phénomène n’est pas sans précédent. «Le Soleil a eu un minimum d’activité similaire très prolongé entre 1912 et 1913, explique Guillaume Aulanier, astronome au laboratoire d’Etudes spatiales et d’instrumentation en astrophysique (Lesia). En remontant encore dans le temps, c’est arrivé sous Louis XIV, pendant près de soixante ans. Ce cycle est connu des astronomes sous le nom de minimum de Maunder et du grand public comme la « petite période glacière ». Il fit alors extrêmement froid en Europe et en Amérique du Nord, ce qui laisse penser à certains chercheurs que les fluctuations de l’activité du Soleil influencent le climat.» »
Source: FIGARO
http://www.lefigaro.fr/sciences-technologies/2010/01/16/01030-20100116ARTFIG00022–l-etrange-panne-du-soleil-.php